
Quatrième de couverture
Paru en feuilleton simultanément dans deux quotidiens polonais durant l'été 1939, ce roman fut interrompu par la guerre. Les trois derniers chapitres, qu'on avait crus définitivement perdus, ont été retrouvés en 1986 et confèrent au roman un étonnant dénouement. Dans Les envoûtés, le génie de Gombrowicz bouleverse les données traditionnelles du roman noir. Il explore ici sa propre légende et révèle son originalité : dédoublement, amour-haine, répulsion, possession et culpabilité.
Mon avis
Passionnant, terrifiant, envoûtant... Le raconter gâcherait le plaisir de le lire.
Mon roman préféré. Dommage qu'il soit si peu connu !
No comment?
RépondreSupprimerLe commenter ne serait-ce pas un peu le raconter et tu nous as dit que cela gâcherait le plaisir de le lire !
RépondreSupprimerTerrifiant, envoûtant, certes, passionnant je n'irais pas jusque là...
Tu vois ça gâche déjà ;-)