La maison de correction est fière de son coureur de fond. Elle l'autorise à s'entraîner, en toute liberté, tous les jours, pour participer à une course, car tous les espoirs sont portés sur lui : espoir de victoire et de modèle de réintégration sociale.
Mais sa liberté est dans ses pensées, non avec cette misérable faveur. Courir et penser, pour combattre l'autorité sans les armes en s'éloignant des chemins qu'ils ont tracé pour lui.
"Si certains d'entre vous veulent des tuyaux sur la course, ne vous pressez jamais et ne montrez jamais aux autres coureurs que vous êtes pressés, même si vous l'êtes."
"Tu devrais penser à personne et prendre ton propre chemin et non pas le parcours marqué d'avance pour toi par des gens..."
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