
Quatrième de couverture
Univers victorien, ambiance à la Jane Austen, écriture classique et sucrée. Caresser le velours conte l’initiation d’une jeune écaillère au saphisme par une chanteuse de music-hall et la découverte du milieu lesbien de la nuit à Londres. Derrière l’apparence d’un roman ingénu, rien n’est laissé au hasard comme la profession de l’héroïne, petite huîtrière qui découvre son plaisir dans les bras de femmes travesties en hommes, de la même manière qu’elle avait appris à ouvrir la chair des crustacés. Une plongée plus sensuelle que véritablement érotique dans l’Angleterre puritaine du XIXe siècle.
Mon avis
Victorien et libertin...
Univers victorien, ambiance à la Jane Austen, écriture classique et sucrée. Caresser le velours conte l’initiation d’une jeune écaillère au saphisme par une chanteuse de music-hall et la découverte du milieu lesbien de la nuit à Londres. Derrière l’apparence d’un roman ingénu, rien n’est laissé au hasard comme la profession de l’héroïne, petite huîtrière qui découvre son plaisir dans les bras de femmes travesties en hommes, de la même manière qu’elle avait appris à ouvrir la chair des crustacés. Une plongée plus sensuelle que véritablement érotique dans l’Angleterre puritaine du XIXe siècle.
Mon avis
Victorien et libertin...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire