Quatrième de couverture
« Je ne me marierai jamais et je n'aurai jamais d'enfants. » Lorsqu'elle prononce cet arrêt, Jane a 13 ans. Le lendemain matin, son père aura fait ses valises. Hasard ? Coïncidence ? La culpabilité ne s'embarrasse pas de ces questions : toute sa vie, Jane s'en mordra les doigts.
De Harvard à Boston, des belles lettres aux manipulations boursières, tout ce qu'elle touche se dérobe, tout ce qu'elle aime lui échappe. Et lorsque, enfin, la vie lui fait un cadeau, c'est pour lui reprendre aussitôt. Alors Jane n'a qu'une obsession : fuir, n'importe où, hors du monde. Mais à vouloir le quitter, c'est lui qui vous rattrape...
Mon avis
Bienvenue dans la vie adulte de Jane, de l'univers de la bourse à la sphère universitaire, en passant par la maternité, les décès, les rapports humains compliqués... Au fil de ses malheurs, elle cherchera à quitter le monde en fuyant, de métiers en métiers, de pays en pays, de vies en vies. Mais le monde est tellement imprévisible...
Au fond, il ne se passe pas grand chose et l'on s'ennuie parfois. Cependant cette fuite à la première personne est distrayante. Encore une fois, Douglas Kennedy a du talent mais ce livre n'est pas son meilleur.
Citations
"La question n'est pas qu'un roman soit accessible ou non, c'est qu'il ait quelque chose à apporter aux autres."
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