Quatrième de couverture
Une vieille demeure victorienne. Deux enfants orphelins, Mile et Flora. Anges ou démons ? Une gouvernante d’une vingtaine d’années qui, rapidement, se persuade que sous ces sourires se cachent des secrets terrifiants. Le Tour d’écrou est un récit sans effets, sans une goutte de sang. Pourtant la tension psychologique qui filtre à travers les lignes est effarante. L’histoire nous est livrée à travers le regard de cette jeune gouvernante qui a quitté la ville pour une campagne isolée. Un monde qu’elle ne sait comment appréhender, des enfants qu’elle peine à comprendre. Les fantômes sont-ils de réels fantômes, ou sont-ils ses propres fantômes ? Le jeu ambigu auquel s’adonnent les enfants renforce ses convictions, alors que le lecteur est saisi, pétrifié, au fil des pages. Un grand classique qui n’a pas perdu une once de sa capacité d’épouvante, et qui reste, par sa sobriété et sa profondeur, un des plus grands chefs-d’œuvre du fantastique.
Mon avis
Une jeune gouvernante face à deux enfants inquiétants, dans une vieille demeure gothique emplie de secrets et de fantômes. Ajoutons à cela, une très bonne écriture de l'auteur.
Frissons délectables...
Mon avis
Une jeune gouvernante face à deux enfants inquiétants, dans une vieille demeure gothique emplie de secrets et de fantômes. Ajoutons à cela, une très bonne écriture de l'auteur.
Frissons délectables...
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